vendredi 28 janvier 2011

Légalité des sites d'escorts girls

Le journal Nice matin, dans son édition du 28 janvier 2011, annonce qu’un Niçois, soupçonné de gérer un site Internet d’escort-girls, sera prochainement jugé pour proxénétisme aggravé (1 600 filles du monde entier étaient référencées sur son site). Le site permettait notamment la notation de la prestation par les  clients.    

Il a déjà été jugé à plusieurs reprises, entre autres, par la Cour de cassation, que les directeurs de publication de presse imprimée ou électronique ainsi que les Webmasters encourent directement le délit de proxénétisme aggravé pour création, mise en ligne et promotion de site proposant des  prestations sexuelles.    

La personne physique ou morale qui offre une prestation technique de création, développement ou promotion de site Internet  en vue de proposer des services de prestations sexuelles (faites par des tiers), s’expose au délit de proxénétisme aggravé.  Le proxénétisme aggravé a été particulièrement adapté à l’utilisation des réseaux de communication électronique (proxénétisme par la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, par la voie d'un réseau de télécommunications).
 
Selon les articles 225-5 et s. du Code pénal, le proxénétisme est le fait, par quiconque, de quelque manière que ce soit :

1° D'aider, d'assister ou de protéger la prostitution d'autrui ;
2° De tirer profit de la prostitution d'autrui, d'en partager les produits ou de recevoir des subsides d'une personne se livrant habituellement à la prostitution ;
3° D'embaucher, d'entraîner ou de détourner une personne en vue de la prostitution ou d'exercer sur elle une pression pour qu'elle se prostitue ou continue à le faire.
Le proxénétisme est puni de sept ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.
Est assimilé au proxénétisme et puni des mêmes peines, le fait, de quelque manière que ce soit:
1° De faire office d'intermédiaire entre deux personnes dont l'une se livre à la prostitution et l'autre exploite ou rémunère la prostitution d'autrui ;
2° De faciliter à un proxénète la justification de ressources fictives ;
3° De ne pouvoir justifier de ressources correspondant à son train de vie tout en vivant avec une personne qui se livre habituellement à la prostitution ou tout en étant en relations habituelles avec une ou plusieurs personnes se livrant à la prostitution ;
4° D'entraver l'action de prévention, de contrôle, d'assistance ou de rééducation entreprise par les organismes qualifiés à l'égard de personnes en danger de prostitution ou se livrant à la prostitution.
On parle de proxénétisme aggravé (dix ans d'emprisonnement et de 1 500 000 euros d'amende), notamment lorsqu'il est commis grâce à l'utilisation d'un réseau de télécommunications pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé.  
A consulter : 


Fiche juridique Actoba : L’offre publicitaire de prestations sexuelles  


Légalité des sites d'escorts girls

Le journal Nice matin, dans son édition du 28 janvier 2011, annonce qu’un Niçois, soupçonné de gérer un site Internet d’escort-girls, sera prochainement jugé pour proxénétisme aggravé (1 600 filles du monde entier étaient référencées sur son site). Le site permettait notamment la notation de la prestation par les  clients.    

Il a déjà été jugé à plusieurs reprises, entre autres, par la Cour de cassation, que les directeurs de publication de presse imprimée ou électronique ainsi que les Webmasters encourent directement le délit de proxénétisme aggravé pour création, mise en ligne et promotion de site proposant des  prestations sexuelles.    

La personne physique ou morale qui offre une prestation technique de création, développement ou promotion de site Internet  en vue de proposer des services de prestations sexuelles (faites par des tiers), s’expose au délit de proxénétisme aggravé.  Le proxénétisme aggravé a été particulièrement adapté à l’utilisation des réseaux de communication électronique (proxénétisme par la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, par la voie d'un réseau de télécommunications).
 
Selon les articles 225-5 et s. du Code pénal, le proxénétisme est le fait, par quiconque, de quelque manière que ce soit :

1° D'aider, d'assister ou de protéger la prostitution d'autrui ;
2° De tirer profit de la prostitution d'autrui, d'en partager les produits ou de recevoir des subsides d'une personne se livrant habituellement à la prostitution ;
3° D'embaucher, d'entraîner ou de détourner une personne en vue de la prostitution ou d'exercer sur elle une pression pour qu'elle se prostitue ou continue à le faire.
Le proxénétisme est puni de sept ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.
Est assimilé au proxénétisme et puni des mêmes peines, le fait, de quelque manière que ce soit:
1° De faire office d'intermédiaire entre deux personnes dont l'une se livre à la prostitution et l'autre exploite ou rémunère la prostitution d'autrui ;
2° De faciliter à un proxénète la justification de ressources fictives ;
3° De ne pouvoir justifier de ressources correspondant à son train de vie tout en vivant avec une personne qui se livre habituellement à la prostitution ou tout en étant en relations habituelles avec une ou plusieurs personnes se livrant à la prostitution ;
4° D'entraver l'action de prévention, de contrôle, d'assistance ou de rééducation entreprise par les organismes qualifiés à l'égard de personnes en danger de prostitution ou se livrant à la prostitution.
On parle de proxénétisme aggravé (dix ans d'emprisonnement et de 1 500 000 euros d'amende), notamment lorsqu'il est commis grâce à l'utilisation d'un réseau de télécommunications pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé.  
A consulter : 


Fiche juridique Actoba : L’offre publicitaire de prestations sexuelles  


Légalité des sites d'escorts girls

Le journal Nice matin, dans son édition du 28 janvier 2011, annonce qu’un Niçois, soupçonné de gérer un site Internet d’escort-girls, sera prochainement jugé pour proxénétisme aggravé (1 600 filles du monde entier étaient référencées sur son site). Le site permettait notamment la notation de la prestation par les  clients.    

Il a déjà été jugé à plusieurs reprises, entre autres, par la Cour de cassation, que les directeurs de publication de presse imprimée ou électronique ainsi que les Webmasters encourent directement le délit de proxénétisme aggravé pour création, mise en ligne et promotion de site proposant des  prestations sexuelles.    

La personne physique ou morale qui offre une prestation technique de création, développement ou promotion de site Internet  en vue de proposer des services de prestations sexuelles (faites par des tiers), s’expose au délit de proxénétisme aggravé.  Le proxénétisme aggravé a été particulièrement adapté à l’utilisation des réseaux de communication électronique (proxénétisme par la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé, par la voie d'un réseau de télécommunications).
 
Selon les articles 225-5 et s. du Code pénal, le proxénétisme est le fait, par quiconque, de quelque manière que ce soit :

1° D'aider, d'assister ou de protéger la prostitution d'autrui ;
2° De tirer profit de la prostitution d'autrui, d'en partager les produits ou de recevoir des subsides d'une personne se livrant habituellement à la prostitution ;
3° D'embaucher, d'entraîner ou de détourner une personne en vue de la prostitution ou d'exercer sur elle une pression pour qu'elle se prostitue ou continue à le faire.
Le proxénétisme est puni de sept ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.
Est assimilé au proxénétisme et puni des mêmes peines, le fait, de quelque manière que ce soit:
1° De faire office d'intermédiaire entre deux personnes dont l'une se livre à la prostitution et l'autre exploite ou rémunère la prostitution d'autrui ;
2° De faciliter à un proxénète la justification de ressources fictives ;
3° De ne pouvoir justifier de ressources correspondant à son train de vie tout en vivant avec une personne qui se livre habituellement à la prostitution ou tout en étant en relations habituelles avec une ou plusieurs personnes se livrant à la prostitution ;
4° D'entraver l'action de prévention, de contrôle, d'assistance ou de rééducation entreprise par les organismes qualifiés à l'égard de personnes en danger de prostitution ou se livrant à la prostitution.
On parle de proxénétisme aggravé (dix ans d'emprisonnement et de 1 500 000 euros d'amende), notamment lorsqu'il est commis grâce à l'utilisation d'un réseau de télécommunications pour la diffusion de messages à destination d'un public non déterminé.  
A consulter : 


Fiche juridique Actoba : L’offre publicitaire de prestations sexuelles  


Exploitation des produits dérivés Brigitte Bardot

La société Akouna ne cessera pas d'organiser l'exposition Brigitte Bardot, les années "insouciance". C'est en ce sens que s'est prononcé le TGI de Paris, saisi en référé par Brigitte Bardo et Bernard d’Ormale.

Le couple 
souhaitait faire cesser l'exploitation des produits dérivés reproduisant le nom, les initiales et l’image de Brigitte Bardot, autres que ceux précédemment cédés en avril 2010 à la Société Akouna. Toutefois, le Tribunal a exclut de l'exposition quatre références produits dérivés portant les initiales BB.

L'affaire met en relief l'importance des Licences de produits dérivés et la nécessité de parfaitement encadrer les droits et obligations de chaque partie. Les licences de produits dérivés sont particulièrement adaptées pour les secteurs suivants : jouets et jeux, cadeaux, vêtements, ameublement et décoration, bagagerie, papeterie, confiseries et alimentation ...   

La licence de produits dérivés peut aussi s'intégrer dans un accord de Cobranding.  

A consulter : Lettre juridique Actoba.com
Modèle de Licence d'exploitation de produits dérivés sur Uplex.fr

Exploitation des produits dérivés Brigitte Bardot

La société Akouna ne cessera pas d'organiser l'exposition Brigitte Bardot, les années "insouciance". C'est en ce sens que s'est prononcé le TGI de Paris, saisi en référé par Brigitte Bardo et Bernard d’Ormale.

Le couple 
souhaitait faire cesser l'exploitation des produits dérivés reproduisant le nom, les initiales et l’image de Brigitte Bardot, autres que ceux précédemment cédés en avril 2010 à la Société Akouna. Toutefois, le Tribunal a exclut de l'exposition quatre références produits dérivés portant les initiales BB.

L'affaire met en relief l'importance des Licences de produits dérivés et la nécessité de parfaitement encadrer les droits et obligations de chaque partie. Les licences de produits dérivés sont particulièrement adaptées pour les secteurs suivants : jouets et jeux, cadeaux, vêtements, ameublement et décoration, bagagerie, papeterie, confiseries et alimentation ...   

La licence de produits dérivés peut aussi s'intégrer dans un accord de Cobranding.  

A consulter : Lettre juridique Actoba.com
Modèle de Licence d'exploitation de produits dérivés sur Uplex.fr

Exploitation des produits dérivés Brigitte Bardot

La société Akouna ne cessera pas d'organiser l'exposition Brigitte Bardot, les années "insouciance". C'est en ce sens que s'est prononcé le TGI de Paris, saisi en référé par Brigitte Bardo et Bernard d’Ormale.

Le couple 
souhaitait faire cesser l'exploitation des produits dérivés reproduisant le nom, les initiales et l’image de Brigitte Bardot, autres que ceux précédemment cédés en avril 2010 à la Société Akouna. Toutefois, le Tribunal a exclut de l'exposition quatre références produits dérivés portant les initiales BB.

L'affaire met en relief l'importance des Licences de produits dérivés et la nécessité de parfaitement encadrer les droits et obligations de chaque partie. Les licences de produits dérivés sont particulièrement adaptées pour les secteurs suivants : jouets et jeux, cadeaux, vêtements, ameublement et décoration, bagagerie, papeterie, confiseries et alimentation ...   

La licence de produits dérivés peut aussi s'intégrer dans un accord de Cobranding.  

A consulter : Lettre juridique Actoba.com
Modèle de Licence d'exploitation de produits dérivés sur Uplex.fr

Bilan des Douanes et cybercriminalité

M. François BAROIN, ministre du Budget, a présenté le bilan annuel 2010 de la douane. La cellule douanière en charge de la lutte contre la cybercriminalité a constaté près de 20 000 infractions ayant donné la saisie de 36,1 tonnes de tabacs, 1 million d’articles de contrefaçon et 1,8 tonne de stupéfiants. Les contrefaçons saisies représentent 421 millions d’euros. Ce chiffre marque une progression de 55 % par rapport à 2009. Les grands must de 2010 : la téléphonie mobile (475 000) et les produits alimentaires (576 000). L'Asie est toujours en tête des zones d'importation de contrefaçon (70% des volumes). Au classement permanent des produits les plus contrefaits, on retrouve par ordre d'importance :

- Vêtement
- Soin corporel
- Accessoires personnels
- Alimentaire
- Téléphonie mobile
- Chaussures
- Jeux et jouets
- Equipement (*)
- Musique, film, logiciels
- Médicament

(*) INTERPOL estime le chiffre d’affaires dégagé par le trafic de faux médicaments au niveau mondial à 75 milliards d’euros en 2010.

A consulter : Lettre juridique Actoba.com

Bilan des Douanes et cybercriminalité

M. François BAROIN, ministre du Budget, a présenté le bilan annuel 2010 de la douane. La cellule douanière en charge de la lutte contre la cybercriminalité a constaté près de 20 000 infractions ayant donné la saisie de 36,1 tonnes de tabacs, 1 million d’articles de contrefaçon et 1,8 tonne de stupéfiants. Les contrefaçons saisies représentent 421 millions d’euros. Ce chiffre marque une progression de 55 % par rapport à 2009. Les grands must de 2010 : la téléphonie mobile (475 000) et les produits alimentaires (576 000). L'Asie est toujours en tête des zones d'importation de contrefaçon (70% des volumes). Au classement permanent des produits les plus contrefaits, on retrouve par ordre d'importance :

- Vêtement
- Soin corporel
- Accessoires personnels
- Alimentaire
- Téléphonie mobile
- Chaussures
- Jeux et jouets
- Equipement (*)
- Musique, film, logiciels
- Médicament

(*) INTERPOL estime le chiffre d’affaires dégagé par le trafic de faux médicaments au niveau mondial à 75 milliards d’euros en 2010.

A consulter : Lettre juridique Actoba.com

Bilan des Douanes et cybercriminalité

M. François BAROIN, ministre du Budget, a présenté le bilan annuel 2010 de la douane. La cellule douanière en charge de la lutte contre la cybercriminalité a constaté près de 20 000 infractions ayant donné la saisie de 36,1 tonnes de tabacs, 1 million d’articles de contrefaçon et 1,8 tonne de stupéfiants. Les contrefaçons saisies représentent 421 millions d’euros. Ce chiffre marque une progression de 55 % par rapport à 2009. Les grands must de 2010 : la téléphonie mobile (475 000) et les produits alimentaires (576 000). L'Asie est toujours en tête des zones d'importation de contrefaçon (70% des volumes). Au classement permanent des produits les plus contrefaits, on retrouve par ordre d'importance :

- Vêtement
- Soin corporel
- Accessoires personnels
- Alimentaire
- Téléphonie mobile
- Chaussures
- Jeux et jouets
- Equipement (*)
- Musique, film, logiciels
- Médicament

(*) INTERPOL estime le chiffre d’affaires dégagé par le trafic de faux médicaments au niveau mondial à 75 milliards d’euros en 2010.

A consulter : Lettre juridique Actoba.com

jeudi 27 janvier 2011

Éric Zemour devant le Tribunal correctionnel de Paris

Éric Zemour est poursuivi pour le délit de provocation à la haine raciale pour avoir tenu les propos suivants sur le plateau télévisé de l'émission de Thierry Ardisson "Salut les terriens" (Canal +) : "Mais pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait". 

Le délit de provocation à la haine raciale est encadré par l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Sont punis de cinq ans d'emprisonnement ou de 45 000 euros d'amende les personnes qui, ont directement provoqué (dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet), à commettre l'infraction de discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée

Sont punis des mêmes peines ceux qui, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal.

En cas de condamnation pour l'un des faits prévus ci-dessus, le tribunal peut aussi ordonner l'affichage ou la diffusion de la décision prononcée.   

Visionner l'extrait de l'émission :
http://www.wat.tv/video/eric-zemmour-derape-sur-immigration-2avgr_2exyv_.html

A consulter :
Délit de provocation à la haine raciale sur Actoba.com

Éric Zemour devant le Tribunal correctionnel de Paris

Éric Zemour est poursuivi pour le délit de provocation à la haine raciale pour avoir tenu les propos suivants sur le plateau télévisé de l'émission de Thierry Ardisson "Salut les terriens" (Canal +) : "Mais pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait". 

Le délit de provocation à la haine raciale est encadré par l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Sont punis de cinq ans d'emprisonnement ou de 45 000 euros d'amende les personnes qui, ont directement provoqué (dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet), à commettre l'infraction de discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée

Sont punis des mêmes peines ceux qui, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal.

En cas de condamnation pour l'un des faits prévus ci-dessus, le tribunal peut aussi ordonner l'affichage ou la diffusion de la décision prononcée.   

Visionner l'extrait de l'émission :
http://www.wat.tv/video/eric-zemmour-derape-sur-immigration-2avgr_2exyv_.html

A consulter :
Délit de provocation à la haine raciale sur Actoba.com

Éric Zemour devant le Tribunal correctionnel de Paris

Éric Zemour est poursuivi pour le délit de provocation à la haine raciale pour avoir tenu les propos suivants sur le plateau télévisé de l'émission de Thierry Ardisson "Salut les terriens" (Canal +) : "Mais pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait". 

Le délit de provocation à la haine raciale est encadré par l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Sont punis de cinq ans d'emprisonnement ou de 45 000 euros d'amende les personnes qui, ont directement provoqué (dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet), à commettre l'infraction de discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée

Sont punis des mêmes peines ceux qui, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal.

En cas de condamnation pour l'un des faits prévus ci-dessus, le tribunal peut aussi ordonner l'affichage ou la diffusion de la décision prononcée.   

Visionner l'extrait de l'émission :
http://www.wat.tv/video/eric-zemmour-derape-sur-immigration-2avgr_2exyv_.html

A consulter :
Délit de provocation à la haine raciale sur Actoba.com

Le Site Bakchich tire sa révérance

Après presque cinq ans d’existence, Bakchich, placé en liquidation judiciaire le 26 janvier 2011, cesse d’actualiser son site Internet ...

A consulter sur Bakchich.info :
http://www.bakchich.info/Bakchich-est-mort-vive-Bakchich,12867.html

Le Site Bakchich tire sa révérance

Après presque cinq ans d’existence, Bakchich, placé en liquidation judiciaire le 26 janvier 2011, cesse d’actualiser son site Internet ...

A consulter sur Bakchich.info :
http://www.bakchich.info/Bakchich-est-mort-vive-Bakchich,12867.html

Le Site Bakchich tire sa révérance

Après presque cinq ans d’existence, Bakchich, placé en liquidation judiciaire le 26 janvier 2011, cesse d’actualiser son site Internet ...

A consulter sur Bakchich.info :
http://www.bakchich.info/Bakchich-est-mort-vive-Bakchich,12867.html

Fusion Orange Cinéma Séries et TPS Star

Le 19 janvier 2011, Bertrand Meheut, Président du Groupe CANAL+ et Stéphane Richard, Directeur Général d'Orange ont annoncé un projet de partenariat stratégique pour rapprocher le bouquet Orange cinéma séries et TPS Star au sein d'une co-entreprise.

L'entreprise sera détenue à 50/50 par les deux partenaires et sa gouvernance sera assurée à parité. Le Groupe CANAL+ apportera sa compétence éditoriale, tandis qu'Orange fera bénéficier de son expertise technologique avec le développement des services interactifs et transmédia associés.

A consulter sur le site de Canal Plus (pdf) :

Fusion Orange Cinéma Séries et TPS Star

Le 19 janvier 2011, Bertrand Meheut, Président du Groupe CANAL+ et Stéphane Richard, Directeur Général d'Orange ont annoncé un projet de partenariat stratégique pour rapprocher le bouquet Orange cinéma séries et TPS Star au sein d'une co-entreprise.

L'entreprise sera détenue à 50/50 par les deux partenaires et sa gouvernance sera assurée à parité. Le Groupe CANAL+ apportera sa compétence éditoriale, tandis qu'Orange fera bénéficier de son expertise technologique avec le développement des services interactifs et transmédia associés.

A consulter sur le site de Canal Plus (pdf) :

Fusion Orange Cinéma Séries et TPS Star

Le 19 janvier 2011, Bertrand Meheut, Président du Groupe CANAL+ et Stéphane Richard, Directeur Général d'Orange ont annoncé un projet de partenariat stratégique pour rapprocher le bouquet Orange cinéma séries et TPS Star au sein d'une co-entreprise.

L'entreprise sera détenue à 50/50 par les deux partenaires et sa gouvernance sera assurée à parité. Le Groupe CANAL+ apportera sa compétence éditoriale, tandis qu'Orange fera bénéficier de son expertise technologique avec le développement des services interactifs et transmédia associés.

A consulter sur le site de Canal Plus (pdf) :

Apple face aux éditeurs de presse

Apple serait sur le point, par une habile modification de ses CGV, d'obliger les éditeurs de presse à passer par iTunes pour commercialiser leurs abonnements. Selon la Tribune.fr, le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) pourrait demander une saisine de l'Autorité de la concurrence par la ministre de l'Économie Christine Lagarde. 

A consulter sur la Tribune.fr :
http://www.latribune.fr/technos-medias/20110120trib000593996/la-presse-francaise-en-guerre-contre-apple.html

Apple face aux éditeurs de presse

Apple serait sur le point, par une habile modification de ses CGV, d'obliger les éditeurs de presse à passer par iTunes pour commercialiser leurs abonnements. Selon la Tribune.fr, le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) pourrait demander une saisine de l'Autorité de la concurrence par la ministre de l'Économie Christine Lagarde. 

A consulter sur la Tribune.fr :
http://www.latribune.fr/technos-medias/20110120trib000593996/la-presse-francaise-en-guerre-contre-apple.html

Apple face aux éditeurs de presse

Apple serait sur le point, par une habile modification de ses CGV, d'obliger les éditeurs de presse à passer par iTunes pour commercialiser leurs abonnements. Selon la Tribune.fr, le Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) pourrait demander une saisine de l'Autorité de la concurrence par la ministre de l'Économie Christine Lagarde. 

A consulter sur la Tribune.fr :
http://www.latribune.fr/technos-medias/20110120trib000593996/la-presse-francaise-en-guerre-contre-apple.html

mercredi 26 janvier 2011

Plan pour la protection du droit d'auteur

A l'occasion du MidemNet, le Commissaire européen en charge du marché intérieur, Michel Barnier a annoncé de prochaines actions européennes pour la protection de la propriété intellectuelle et la lutte contre le piratage. Un volet sur la gestion collective est également prévu ...     

A consulter sur le Monde.fr :

http://midem.blog.lemonde.fr/2011/01/22/le-commissaire-barnier-et-le-%c2%ab-droit-d%e2%80%99auteur-a-l%e2%80%99ere-numerique-%c2%bb/

Plan pour la protection du droit d'auteur

A l'occasion du MidemNet, le Commissaire européen en charge du marché intérieur, Michel Barnier a annoncé de prochaines actions européennes pour la protection de la propriété intellectuelle et la lutte contre le piratage. Un volet sur la gestion collective est également prévu ...     

A consulter sur le Monde.fr :

http://midem.blog.lemonde.fr/2011/01/22/le-commissaire-barnier-et-le-%c2%ab-droit-d%e2%80%99auteur-a-l%e2%80%99ere-numerique-%c2%bb/

Plan pour la protection du droit d'auteur

A l'occasion du MidemNet, le Commissaire européen en charge du marché intérieur, Michel Barnier a annoncé de prochaines actions européennes pour la protection de la propriété intellectuelle et la lutte contre le piratage. Un volet sur la gestion collective est également prévu ...     

A consulter sur le Monde.fr :

http://midem.blog.lemonde.fr/2011/01/22/le-commissaire-barnier-et-le-%c2%ab-droit-d%e2%80%99auteur-a-l%e2%80%99ere-numerique-%c2%bb/

MIDEM 2010

Le 45e Marché international du disque et de l'édition musicale (Midem) fait grise mine, le marché du disque   annonce un chiffre d'affaires en recul de 5% par rapport à 2010...

A consulter sur le Figaro.fr :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/01/26/97002-20110126FILWWW00605-musique-marasme-au-45eme-midem.php

MIDEM 2010

Le 45e Marché international du disque et de l'édition musicale (Midem) fait grise mine, le marché du disque   annonce un chiffre d'affaires en recul de 5% par rapport à 2010...

A consulter sur le Figaro.fr :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/01/26/97002-20110126FILWWW00605-musique-marasme-au-45eme-midem.php

MIDEM 2010

Le 45e Marché international du disque et de l'édition musicale (Midem) fait grise mine, le marché du disque   annonce un chiffre d'affaires en recul de 5% par rapport à 2010...

A consulter sur le Figaro.fr :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/01/26/97002-20110126FILWWW00605-musique-marasme-au-45eme-midem.php

Publicité XXL sur les monuments historiques

Les bâches publicitaires XXL sur les monuments historiques en cours de restauration deviennent légion. Cet affichage publicitaire constitue une nouvelle source de financement complémentaire intéressant, il est strictement réglementé par les articles L. 621-29-8 du Code du Patrimoine :

"Par dérogation à l'article L. 581-2 du code de l'environnement, dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux sur les immeubles classés ou des demandes d'accord de travaux sur les immeubles inscrits, l'autorité administrative chargée des monuments historiques peut autoriser l'installation de bâches d'échafaudage comportant un espace dédié à l'affichage. Les recettes perçues par le propriétaire du monument pour cet affichage sont affectées par le maître d'ouvrage au financement des travaux."

Aller plus loin :
L'affichage publicitaire extérieur sur Actoba.com  
+ 5000 modèles de contrats sur Uplex.fr  

Publicité XXL sur les monuments historiques

Les bâches publicitaires XXL sur les monuments historiques en cours de restauration deviennent légion. Cet affichage publicitaire constitue une nouvelle source de financement complémentaire intéressant, il est strictement réglementé par les articles L. 621-29-8 du Code du Patrimoine :

"Par dérogation à l'article L. 581-2 du code de l'environnement, dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux sur les immeubles classés ou des demandes d'accord de travaux sur les immeubles inscrits, l'autorité administrative chargée des monuments historiques peut autoriser l'installation de bâches d'échafaudage comportant un espace dédié à l'affichage. Les recettes perçues par le propriétaire du monument pour cet affichage sont affectées par le maître d'ouvrage au financement des travaux."

Aller plus loin :
L'affichage publicitaire extérieur sur Actoba.com  
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Publicité XXL sur les monuments historiques

Les bâches publicitaires XXL sur les monuments historiques en cours de restauration deviennent légion. Cet affichage publicitaire constitue une nouvelle source de financement complémentaire intéressant, il est strictement réglementé par les articles L. 621-29-8 du Code du Patrimoine :

"Par dérogation à l'article L. 581-2 du code de l'environnement, dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux sur les immeubles classés ou des demandes d'accord de travaux sur les immeubles inscrits, l'autorité administrative chargée des monuments historiques peut autoriser l'installation de bâches d'échafaudage comportant un espace dédié à l'affichage. Les recettes perçues par le propriétaire du monument pour cet affichage sont affectées par le maître d'ouvrage au financement des travaux."

Aller plus loin :
L'affichage publicitaire extérieur sur Actoba.com  
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Fiscalité de l'art contemporain - Affaire Dan Flavin et Bill Viola

Selon la Commission européenne, lors de leur passage en douane et lorsqu'elles proviennent d'un pays tiers à l'Union européenne, les oeuvres de Dan Flavin et Bill Viola ne peuvent bénéficier (en Grande Bretagne), du taux réduit de TVA de 5% (au lieu de 20%). Par leur composition (tubes, luminaires, vidéoprojecteur ...), ces oeuvres sont assimilables à des produits manufacturés et ne peuvent bénéficier du régime favorable du Tarif douanier commun. 
 
Aller plus loin :
Régime douanier des oeuvres d'art sur Actoba.com  
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Fiscalité de l'art contemporain - Affaire Dan Flavin et Bill Viola

Selon la Commission européenne, lors de leur passage en douane et lorsqu'elles proviennent d'un pays tiers à l'Union européenne, les oeuvres de Dan Flavin et Bill Viola ne peuvent bénéficier (en Grande Bretagne), du taux réduit de TVA de 5% (au lieu de 20%). Par leur composition (tubes, luminaires, vidéoprojecteur ...), ces oeuvres sont assimilables à des produits manufacturés et ne peuvent bénéficier du régime favorable du Tarif douanier commun. 
 
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Régime douanier des oeuvres d'art sur Actoba.com  
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Fiscalité de l'art contemporain - Affaire Dan Flavin et Bill Viola

Selon la Commission européenne, lors de leur passage en douane et lorsqu'elles proviennent d'un pays tiers à l'Union européenne, les oeuvres de Dan Flavin et Bill Viola ne peuvent bénéficier (en Grande Bretagne), du taux réduit de TVA de 5% (au lieu de 20%). Par leur composition (tubes, luminaires, vidéoprojecteur ...), ces oeuvres sont assimilables à des produits manufacturés et ne peuvent bénéficier du régime favorable du Tarif douanier commun. 
 
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Régime douanier des oeuvres d'art sur Actoba.com  
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lundi 24 janvier 2011

Contrat de cession de droits d'exploitation - Spectacle vivant

Le Contrat de cession des droits d'exploitation sur un spectacle vivant (pièce de théâtre, ballet, concert ...). qualifié également de "Contrat de vente" permet à un Organisateur l'achat d'un spectacle clef en main. Le Producteur livre à l'Organisateur (ou au Cessionnaire) un spectacle entièrement monté et assume également la responsabilité artistique de la représentation. 





Contrat de cession de droits de diffusion d'un clip musical - Vidéomusique

Le Contrat de cession de droits de diffusion d'un clip musical est conclu entre le Producteur de la vidéomusique et un Diffuseur. Il stipule notamment les clauses relatives à l'identification de l'oeuvre (auteur, label, réalisateur...), au nombre de diffusions garanties, à la communication des supports (format, livraison...), aux conditions financières, à la reddition des comptes.

A consulter :




dimanche 23 janvier 2011

Contrat de cession de droits sur un Opéra

Le Contrat de cession de droits sur un Opéra opère une cession entre un Producteur souhaitant exploiter le phonogramme dudit Opéra et l'Auteur de l'oeuvre. Ce contrat doit garantir une sécurité juridique maximum aux Parties notamment sur les volets de la rémunération, des droits de la SDRM, de la durée de la cession, des territoires d'exploitation concédés, de la nature des supports d'exploitation, du statut du livret d'Opéra etc. 

A consulter : 

 

samedi 22 janvier 2011

Contrat de cession de droits sur un court métrage audiovisuel

Le Contrat de cession de droits sur un court métrage audiovisuel ou cinématographique est conclu entre l'Auteur-réalisateur et le Producteur. Ce contrat doit notamment stipuler les clauses relatives au droit moral de l'Auteur-réalisateur, aux droits d'exploitation cédés, aux conditions financières de la cession (rémunération et modalités de paiement), au droit moral etc. 

A consulter :




Cession de droits d'auteur d'une oeuvre littéraire

Le Contrat de cession de droits sur une oeuvre littéraire peut aussi bien porter sur un scénario, qu'une bible ou qu'un ouvrage littéraire. Ce contrat doit inclure toutes les clauses relatives aux supports d'exploitation, aux territoires de cession, à la durée de la cession, au respect du droit moral de l'auteur, à la nature des droits cédés (adaptation, reproduction ...).

A consulter :
Modèle de Contrat de cession de droits sur une Oeuvre littéraire

jeudi 20 janvier 2011

Contrat de coproduction d'un spectacle vivant


On appelle spectacle vivant, tout spectacle exécuté en direct devant un public avec la présentation physique des artistes interprètes (comédiens, musiciens ...). Sont classés dans cette catégorie, les pièces de théâtre, opéras, opérettes, comédies musicales, chorales, fanfares, pantomimes, ballets, récitals d’artiste de variété,
spectacles de cirque, de rue, etc...

Le Contrat de coproduction d'un spectacle vivant (concert, pièce de théâtre, ballet) est conclu entre deux (ou plus) personnes physiques ou morales. Il doit notamment stipuler les clauses relatives à la clé de répartition, au plan de financement, au budget de communication, à la cession des droits, à la gestion de la comptabilité (billetterie ...).

A consulter :